Je verrais bien mes boucles d’oreille « Enna » sur un personnage de film type Amazone moderne (Spielberg si tu lis cet article note le bien je peux créer des accessoires pour tes films). J’ai plus de chance de les mettre en vente sur Amazon que de les voir en affiche d’un film sur une Amazone numéro un du box office.
Je serais fière même si je les voyais porté par une inconnue dans le rue, j’aurais envie d’aller lui parler, la complémenter sur son beau bijou ou alors me vanter d’être « la créatrice » de ce bijou, l’égo tout gonflé comme un coq qui se pavane, je me sentirais comme la Jeanne Paule Gaultier des boucles d’oreille aussi connue pour son extravagance que pour ces bijoux qui font ressortir l’amazone qui est en vous.
Portez ces boucles pour vous sentir prête à affronter le monde, soyez la guerrière de votre destiné. Marchez fièrement comme un paon, sans plume qui dépasse du c** mais avec des créoles aux oreilles comme apparats de charme, vous sentir la femme forte et indépendante qui traverse la vie comme un aigle dans le ciel, majestueuse et déterminée (ne me prenez pas pour une dinde avec mes métaphores ornithologiques).
Finalement, ai-je besoin de reconnaissance en voyant mes bijoux portés ? Si on aime mes bijoux, on m’aime moi ? Suis-je encore comme un enfant de 4ans qui a besoin d’être félicité pour son beau dessin ? Finalement ne sommes-nous pas tous resté cet enfant au besoin de reconnaissance ?…
Je vais me chercher un psy pour répondre à ces questions sur ma condition de créatrice.